
Au terme des travaux de M. Gourevitch, il ressort que les immigrés « seraient environ 6,8 millions dans notre pays, soit 11% de la population métropolitaine. Chiffre qui par définition ne comptabilise pas les centaines de milliers de clandestins. L’immigré, selon la définition qu’en donne le Haut Conseil à l’Intégration, et reprise ici, étant « une personne née à l’étranger, de parents étrangers, qui a décidé de s’installer dans le pays d’accueil et qui y réside depuis un an au minimum ». « L’immigration est à la fois source de richesses et de coûts, pour le pays d’origine, le pays d’accueil et le migrant. Mais au bout du compte, ce sont les contribuables qui financent cette politique et son déficit de plus de 26 milliards d’euros ». Cette étude révèle que l’immigration proprement dite coûte au total 71,76 milliards d’euros (coûts sécuritaires, coûts fiscaux et sociétaux, coût de la protection sociale…) et ne rapporte que 45,57 milliards d’euros. L’immigration serait donc responsable des trois quarts du déficit public de la France. Et cette étude de livrer des chiffres et informations particulièrement éclairants : lorsqu’une personne immigrée ne repart pas dans son pays d’origine à la fin de son contrat de travail, c’est l’Etat (le contribuable) qui prend en charge le coût des prestations sociales. Les immigrés extra-européens et leurs descendants perçoivent 22% des prestations sociales. Le coût unitaire des demandes d’asile est de 15.000 euros. La plupart des dépenses d’immigration ne relèvent pas du Ministère de l’Immigration de Brice Hortefeux. Les dépenses sécuritaires liées à l’immigration s’élèvent à 5,2 milliards d’euros. Le travail au noir concerne au minimum 500.000 personnes immigrées et représente un manque à gagner pour l’Etat de 3,81 milliards d’euros. 65 à 90% des prostituées sont étrangères. Le taux de chômage des immigrés est le double de celui des non immigrés. Les prestations sociales constituent 14% du revenu moyen des ménages immigrés contre 5% pour les ménages non immigrés. Bref cette étude de M. Gourevitch valide singulièrement les avertissements et les travaux antérieurs effectués par les spécialistes frontistes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire