12.5.08

LES ECOLES "POURRIES" DE LA REPUBLIQUE



Ce lundi 28 avril, un élève a gravement blessé au couteau trois autres élèves au Collège Olivier de Serres à Meyzieu (Rhône). Pendant les cours, l'élève s'est subitement levé pour poignarder deux camarades d'école assis à ses côtés avant de passer dans la salle en face pour en poignarder un troisième. Le délinquant a ensuite pris la fuite et a été interpellé une heure et demie plus tard dans la rue.

Comme après chaque incident, on nous présente le collège en question comme un établissement jusqu'alors réputé "sans problèmes". Mais à y regarder de plus près, les rackets, les violences physiques, les trafics de drogues et les incivilités sont à l'ordre du jour là aussi. Il s'y ajoute un taux très élevé d'étrangers en provenance de nombreux pays entraînant de nombreux problèmes linguistiques, culturels et religieux, sans parler d'un corps professoral souvent ancré à gauche et à l'extrême gauche qui plombe le niveau de l'enseignement. Les écoles de la République produisent des élèves qui ne savent plus correctement lire, écrire ou effectuer une opération de calcul simple (additionner 1,20 € et 50 Centimes sans utiliser une calculette par exemple). Beaucoup de nos élèves dans le Rhône connaissent les noms des fleuves du Brésil et des desserts d'Afrique, mais ne connaissent ni le Rhône ni la Saône qui traversent pourtant leur département, et sont incapables de retrouver sur une carte de France l'emplacement exact du Beaujolais. L'auteur de ces lignes a même rencontré récemment deux élèves lyonnais de terminale qui ne savaient pas se servir d'un simple dictionnaire Larousse ! Ne parlons même pas des langues étrangères. Les connaissances en histoire laissent également à désirer, exception faite bien sûr de l'époque de Vichy mâchée mille fois entre la 6e et la terminale pour culpabiliser les élèves afin qu'ils soient plus tard très réceptifs aux idées gauchos et franc-maçonniques. En biologie, on préfère enseigner aux élèves l'utilisation du préservatif, la soit disante valeur équivalente entre toutes les orientations sexuelles et le bienfait de l'avortement plutôt que de leur apprendre les classiques en anatomie, hygiène et botanique. Au lieu de faire visiter aux élèves un musée d'histoire naturelle ou une cathédrale, on préfère leur payer un voyage à Auschwitz ou une entrée à l'affreuse Biennale de "l'art" contemporain.

Récemment, des élèves du Collège Jean Moulin à Aubervilliers ont massivement écrit à l'inspecteur d'académie de leur département pour l'alerter sur les incidents criminels répétitifs dans leur établissement restés sans réponse. Ils se plaignaient également de la mauvaise qualité scolaire due à ces actes de vandalismes. Mais lorsqu'on regarde les mesures prévues par le gouvernement français censé relever le niveau scolaire et lutter contre la délinquance, la transformation des écoles des crétins" en école de qualité ne semble toujours pas à l'ordre du jour. Ou pour le dire comme un élève de troisième du collège susmentionné : "on a touss ecri o directeur de l'akademi ki nous a pourtan pa repondu". Serait-ce parce qu'il n'a pas tout simplement réussi à lire le message ?

3 commentaires:

Anonyme a dit…

bin koi ? sai pa sa kon di ...

Prenons le(s) problème(s) à la source :
Pour avoir de bons résultats scolaire, il faut de bons professeurs et des élèves ayant soif d’apprendre.

Aujourd’hui, pourquoi la majorité des élèves se donnerait la peine d’apprendre, alors que les parents sont dans la culture du tout cuit apporté sur un plateau ?

Pour finir, lorsqu’un élève plus réaliste que les autres a soif de culture (cas exceptionnel), il a 9/10 chances de s’adresser un prof qui ne connaît aucune application dans la vraie vie des matières qu’il enseigne, exemple : « les maths, ça sert à apprendre à apprendre » (dixit mon prof de math en 1983).

L’éducation nationale est aujourd’hui à considérer majoritairement comme une crèche géante pour des enfants de moins de 20 ans, tenue par des idiots de plus de 20 ans, détenant le record de dépense du budget de l’état.

FN-Vite

Anonyme a dit…

Pour revenir à l'affaire du jeune garçon qui a poignardé ses camarades, c'était un gothique était tous les jours persécuté par les autres élèves, agressé verbalement et physiquement, personne n'est venue à son aide alors qu'on savait très bien se qu'il se passé.

Encore dans ce même collège quelques mois auparavant le proviseur de ce collège avait giflé un élève parce qu'il lui manqué de respect alors qu'on nous dise que ce collège de Meyzieu est sois-disant tranquille c'est totalement faux !

Ne comptez pas sur les hautes instances de l'éducation pour vous sortir de vos problèmes dans l'éducation, il ne feront jamais rien.

Jerome a dit…

Les professeurs d'extreme-gauche ne sont pas du folklore, c'est une réalité que j'ai connue étant éléve:
Un jour,j'ai vu un professeur d'éducation physique faire un discours particuliérement haineux envers les nationalistes et appeler à la violence physique!

Par contre, le jour ou j'ai dit à l'un d'entre eux: "payé à dire des conneries", la sanction a été immédiate!

Le genre de situation qui m'a amené à devenir électeur du FN!