
Selon une étude de l’Insee publiée vendredi 18 juillet la France métropolitaine comptait, en 2006, 7,9 millions de pauvres, soit 13,2 % de la population dont le niveau de vie est “inférieur à 880 euros par mois”, alors que le revenu médian est de 1 470 euros par mois (17 600 euros par an). Cette étude s’appuie sur les déclarations fiscales et exclut les personnes sans domicile.
“Ces chiffres confirment la tendance observée depuis 2002 d’une stabilisation des inégalités et de la pauvreté en France après une période de baisse régulière”, a commenté Jean-Louis Lhéritier, l’un des responsables de l’Insee.
En 2006, le revenu disponible des 10 % les plus pauvres de la population française métropolitaine était constitué “à 42 % de transferts sociaux”, principalement les allocations familiales et de logement, ajoute l’étude. Environ 30 % des familles monoparentales, essentiellement constituées d’une mère et de ses enfants, vivent dans la pauvreté, et c’est dans les villes de plus de 20 000 habitants, hors agglomération parisienne, que le taux de pauvreté est le plus fort.
“Ces chiffres confirment la tendance observée depuis 2002 d’une stabilisation des inégalités et de la pauvreté en France après une période de baisse régulière”, a commenté Jean-Louis Lhéritier, l’un des responsables de l’Insee.
En 2006, le revenu disponible des 10 % les plus pauvres de la population française métropolitaine était constitué “à 42 % de transferts sociaux”, principalement les allocations familiales et de logement, ajoute l’étude. Environ 30 % des familles monoparentales, essentiellement constituées d’une mère et de ses enfants, vivent dans la pauvreté, et c’est dans les villes de plus de 20 000 habitants, hors agglomération parisienne, que le taux de pauvreté est le plus fort.
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