Nanterre, le 16 janvier 2009
Communiqué de presse de Marine Le Pen
Baisse du taux du livret A : les Français arnaqués !
Après une valse-hésitation et des annonces contradictoires, le gouvernement a décidé de baisser le taux de rémunération du livret A de 4 à 2,5%.
Un mauvais coup porté aux 46 millions d’épargnants français et au principe même de l’épargne populaire défiscalisée, qui constitue un placement refuge bien utile dans un contexte de crise boursière et financière.
La baisse du rendement du livret A est une décision sociale et économique désastreuse qui pénalise aussi bien les classes moyennes que le compte d’épargne lui-même, désormais moins attractif pour les banques qui le commercialisent depuis le 1er janvier 2009.
Cette décision est pour le moins étonnante de la part d’un gouvernement qui veut relancer l’investissement, quand on sait que l’épargne collectée sur le Livret A sert à financer la construction de logements neufs.
En s’affranchissant des règles de calcul qui prennent en compte l’évolution de l’inflation réelle, Nicolas Sarkozy sacrifie l’épargne populaire, symbole du placement sans risque, sur l’autel d’une mondialisation financière, source des pires dérives.
Communiqué de presse de Marine Le Pen
Baisse du taux du livret A : les Français arnaqués !
Après une valse-hésitation et des annonces contradictoires, le gouvernement a décidé de baisser le taux de rémunération du livret A de 4 à 2,5%.
Un mauvais coup porté aux 46 millions d’épargnants français et au principe même de l’épargne populaire défiscalisée, qui constitue un placement refuge bien utile dans un contexte de crise boursière et financière.
La baisse du rendement du livret A est une décision sociale et économique désastreuse qui pénalise aussi bien les classes moyennes que le compte d’épargne lui-même, désormais moins attractif pour les banques qui le commercialisent depuis le 1er janvier 2009.
Cette décision est pour le moins étonnante de la part d’un gouvernement qui veut relancer l’investissement, quand on sait que l’épargne collectée sur le Livret A sert à financer la construction de logements neufs.
En s’affranchissant des règles de calcul qui prennent en compte l’évolution de l’inflation réelle, Nicolas Sarkozy sacrifie l’épargne populaire, symbole du placement sans risque, sur l’autel d’une mondialisation financière, source des pires dérives.
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