L’ex-patineur lyonnais de 37 ans, médaille d’or aux Jeux olympiques de 2002 avec sa partenaire Marina Anissina, figurera donc en 7e position sur la liste emmenée par le président PS sortant du conseil régional.
« Jean-Jack Queyranne m’avait déjà fait la demande en 2004. - NDLR : tiens tiens on en apprend de choses - Mais je venais de créer mon entreprise », explique-t-il. Et il va plus loin le patineur, il nous annonce qu’il estime avoir « de fortes chances » d’obtenir une vice-présidence de région. Quel mépris pour la démocratie et pour les électeurs. Voilà donc l’artiste qui se voit, alors même que l’élection n’a pas eu lieu, déjà élu et, qui plus est, « Vice-Président ». Mazette. Il estime même, en toute modestie, que Queyranne a recherché en lui « une compétence et une sensibilité », et non « un people ». Ce serait bien que Gwendal nous explique plus en détail ses compétences car hormis danser sur de la glace, je ne vois pas ce que le dandy glissant a fait.
Et il en rajoute le mannequin : « C’est ce qui est prévu. Mais je ne sais pas si ce sera aux sports. Je m’intéresse aussi beaucoup aux domaines de l’emploi et aux relations internationales », poursuit-il, se disant « attaché à l’emploi du sport comme lien social, au travail des jeunes ». C’est beau comme de l’Antique… Il oublie juste de nous parler de son expérience politique et pourtant, en ce domaine c’est aussi un champion ! Jugez plutôt : au titre de la seule Région Rhône-Alpes, le Gwendal a perçu 68 250 € de subventions. Et ce sans AUCUNE contre-partie pour la Région ! Elle est pas belle la vie ?
Et vous l’avez bien lu, cette somme est uniquement celle provenant de la Région Rhône-Alpes.
Or, il suffit de se rendre sur le site internet de son « cabinet de conseils » pour s’apercevoir que la liste de ses « références » est uniquement composée de collectivités (Mairie, Conseil général, Conseil régional, etc…) de …gauche !
Et Gwendal Peizerat de nous expliquer aussi qu’il ne voit aucun inconvénient à faire partie de l’exécutif régional et de continuer à être le responsable d’un « cabinet conseils » suceur de subventions. C’est vrai qu’ainsi il sera sans doute aux premières « loges » pour continuer la chasse aux subventions et autres missions de conseil… bidon ! Oui, le terrain est glissant car tout cela s’apparente, en vérité à du… tapinage artistique !
En tout cas les contribuables vont être certainement très heureux d’apprendre qui est le futur Vice-président de la Région Rhône-Alpes et où passe leur argent.
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