Jean-Marie Le Pen : Les départs “sont des rides sur l’océan”!

Les récents départs de cadres du FN sont “des rides sur l’océan” résultant de “conflits de gamelle”, a déclaré Jean-Marie Le Pen, dans un entretien au Figaro mercredi.

Les départs “sont des rides sur l’océan”, dit-il. “Je vois les choses de loin, avec une certaine décontraction, que donne l’expérience des hommes”.

La réaction du Président du Front National est venue du fait de certains départs du Mouvement des patriotes. La plupart des “partants”, qui sortis du Front National, ne sont d’ailleurs que d’illustres inconnus, s’étaient sans doute imaginé mettre le Front National ou Jean-Marie Le Pen un peu plus dans l’embarras. Pourquoi au fait ? Pour qui ? Mais demandez à votre concierge ou à votre boucher qui est, par exemple, Martine Le Hideux ? Qui est Michel Bayvet ? Qui est Carl Lang ? Inconnus au bataillon !

Les Français, dans la rue, ne connaissent eux et d’abord, que Jean-Marie Le Pen et Le Front National. Puis Marine et notre ami Bruno Gollnisch. C’est ça la réalité . Rien d’autre. Les autres ? Personne - hormis le microscome politique - ne les connait. Soral ? Qui c’est, nous répondent-ils quand on leur pose la question. Il faut alors rajouter, vous savez c’est le frère d’Agnès. Agnès Soral , vous savez l’actrice, pour qu’ils émettent parfois un “ah…oui, je vois”. C’est comme ça . Il n’y a rien d’infamant à cela mais c’est juste un constat objectif. . Alors vous pensez bien que les “petits” élus régionaux d’Ile de France ou d’ailleurs, peuvent bien tortiller du croupion pour se faire remarquer et tenter d’attirer les journalistes pour déverser leur venin sur ceux qui les ont nourri pendant de nombreuses mandatures, cela ne marche pas et même Carl Lang, pourtant plusieurs fois député européen, ancien Secrétaire général du Front national ne peut réunir, après tapage diurne et moult coups de téléphone (arabes ?), plus de 25 personnes lors d’une grande réunion publique organisée à Calais, ville qu’il considère lui-même pourtant comme faisant partie de “son fief”. C’est dire. Triste fin annoncée mon pauvre Carl. Ceux qui s’imaginaient, avec cet enchaînement de coups bas bien orchestrés ( faut bien le reconnaître) que Le Pen allait regretter, gémir, ou pleurnicher ou même faire “repentance” se sont donc , une nouvelle fois, mis le doigt dans l’oeil.

Jean-Marie Le Pen, est un combattant, un vrai ! Il en a vu de toutes les couleurs sans jamais mettre un genou à terre. ll avance ! Sans se préoccuper des coeurs mous et des états d’âme de celui-ci ou de celle-là. Son combat se situe ailleurs. Son combat c’est celui d’un homme d’Etat qui ne ménage ni son temps, ni ses forces , depuis toujours, pour UNIQUEMENT se préoccuper de l’avenir de notre pays et de nos compatriotes dans les difficultés et non s’attarder sur le sort des petits notables pleurnichards ! Leurs glapissements de petits baronnets sont tout simplement pathétiques ! C’est pour cela que j’aime Jean Marie Le Pen. Parce que c’est un chef. Un lion !

Entre Alain Soral, que j’aimais beaucoup, et que j’ai soutenu plusieurs fois, Martine Le Hideux, Carl Lang et Cie ou Jean-Marie Le Pen. Il n’y a pas photo ! Mon choix c’est et se sera toujours Le Pen d’Abord ! Mon choix c’est et se sera toujours celui du courage et de la dignité, celui de la fidéilté et de l’Honneur tout simplement.. Et jusqu’au bout ! Alors s’il y a quelques jours Martine Lehideux, Martial Bild et quatre autres conseillers régionaux en Ile-de-France quittaient le groupe FN, présidé par Marine Le Pen je m’en tape . Pourquoi ? Parce q’uils seront très vite oubliés et…remplacés. C’est comme ça que cela se passe toujours et que cela se passera encore. Quand les branches pourries tombent, l’arbre devient plus beau. Jean-Marie Le Pen a lui déclaré :”Quand la tempête souffle, les branches mortes tombent, les troncs trop faibles plient et sont déracinés. C’est la vie de la nature”, et d’ajouter “Tant que ces personnes ont obtenu les places qu’elles convoitaient, elles ont tu leurs divergences. Et aujourd’hui ce sont, principalement, des conflits de gamelle”. Avant de prédire pour les partants qu’il accuse, à juste titre, de “trahison” qu’ils vont “disparaître dans l’anonymat”. Bien vu…Chef !

Jacques Vassieux