Le président PS du Conseil régional de Rhône-Alpes arriverait nettement en tête au second tour des régionales, mais l’eurodéputée UMP Françoise Grossetête arriverait elle en tête au premier tour. Le président sortant PS s’imposerait largement au second, selon le sondage OpinionWay et ce quelle que soit la configuration, duel ou en triangulaire avec le Front national, comme en duel PS-UMP.
La liste de Bruno Gollnisch, autre Eurodéputé, obtiendrait les 10 % lui permettant de se maintenir au second tour.
L’UMP paierait ainsi sa « complicité active » avec la majorité PS, Verts, Communiste. En effet, les élus UMPéistes ont voté à 99 % les rapports proposés par l’exécutif de gauche tout au long de la mandature en cours allant jusqu’à participer à l’élection de membres de la gauche plurielle face au FN dans les conseils d’administrations des organismes extérieurs. A ce stade là de connivence cela s’apparente d’ailleurs à de la collaboration active. Dès lors les électeurs comprennent bien qu’élire la droite ou la gauche ne fait aucune différence. Les citoyens de Rhône-Alpes pourraient constater aisément à la lecture des comptes-rendus que seul le Front National a fait son travail d’opposition aux délires de Jean-Jack Queyranne.
Les écologistes sont crédités d’un score (16 %) qu’ils n’ont jamais atteint en Rhône-Alpes. Mais les résultats du sondage éloignent pour Jean-Jack Queyranne le spectre de se voir devancer par la liste des Verts-Europe Écologie conduite par Philippe Meirieu qui a été choisi parce que son profil est de nature à attirer les déçus du PS.
Quant au MoDem, dont la liste devrait être conduite par l’ancien ministre de Dominique de Villepin, Azouz Begag, il n’est crédité que de 8 % dans cette région qui, de 1986 à 2004, avait toujours été dirigée par des présidents issus de l’UDF. Mais, de la même façon que pour les élus UMP, les centristes se sont tellement vautrés dans la complaisance avec la gauche que les électeurs ont bien compris que cela ne servait à rien de voter pour des ersatz socialistes et qu’il valait encore mieux préférer les originaux à la copie.
La liste de Bruno Gollnisch, autre Eurodéputé, obtiendrait les 10 % lui permettant de se maintenir au second tour.
L’UMP paierait ainsi sa « complicité active » avec la majorité PS, Verts, Communiste. En effet, les élus UMPéistes ont voté à 99 % les rapports proposés par l’exécutif de gauche tout au long de la mandature en cours allant jusqu’à participer à l’élection de membres de la gauche plurielle face au FN dans les conseils d’administrations des organismes extérieurs. A ce stade là de connivence cela s’apparente d’ailleurs à de la collaboration active. Dès lors les électeurs comprennent bien qu’élire la droite ou la gauche ne fait aucune différence. Les citoyens de Rhône-Alpes pourraient constater aisément à la lecture des comptes-rendus que seul le Front National a fait son travail d’opposition aux délires de Jean-Jack Queyranne.
Les écologistes sont crédités d’un score (16 %) qu’ils n’ont jamais atteint en Rhône-Alpes. Mais les résultats du sondage éloignent pour Jean-Jack Queyranne le spectre de se voir devancer par la liste des Verts-Europe Écologie conduite par Philippe Meirieu qui a été choisi parce que son profil est de nature à attirer les déçus du PS.
Quant au MoDem, dont la liste devrait être conduite par l’ancien ministre de Dominique de Villepin, Azouz Begag, il n’est crédité que de 8 % dans cette région qui, de 1986 à 2004, avait toujours été dirigée par des présidents issus de l’UDF. Mais, de la même façon que pour les élus UMP, les centristes se sont tellement vautrés dans la complaisance avec la gauche que les électeurs ont bien compris que cela ne servait à rien de voter pour des ersatz socialistes et qu’il valait encore mieux préférer les originaux à la copie.
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