La vice-présidente du Front national Marine Le Pen a estimé que Nicolas Sarkozy se rendait aujourd’hui “au chevet” des ouvriers de Renault-Sandouville (Seine-maritime) pour leur administrer “l’extrême onction”.
Le président de la République “est venu aussi au chevet des pêcheurs qui n’ont pas vu leur situation s’améliorer, au chevet de métallos qui n’ont pas vu non plus leur situation s’améliorer. Il vient au chevet” des ouvriers de Renault “mais en l’occurrence, il vient prononcer l’extrême onction”, a déclaré Mme le Pen sur I-Télé.
“Ce n’est pas le médecin qui vient, il faut que les ouvriers de Renault le sachent”, a-t-elle ajouté.
Nicolas Sarkozy devait se rendre lundi matin à l’usine Renault de Sandouville (Seine-Maritime), où un millier d’emplois doivent être supprimés dans le cadre d’un plan social. Une partie des salariés ont cessé le travail à l’occasion de sa venue.
Le président de la République “est venu aussi au chevet des pêcheurs qui n’ont pas vu leur situation s’améliorer, au chevet de métallos qui n’ont pas vu non plus leur situation s’améliorer. Il vient au chevet” des ouvriers de Renault “mais en l’occurrence, il vient prononcer l’extrême onction”, a déclaré Mme le Pen sur I-Télé.
“Ce n’est pas le médecin qui vient, il faut que les ouvriers de Renault le sachent”, a-t-elle ajouté.
Nicolas Sarkozy devait se rendre lundi matin à l’usine Renault de Sandouville (Seine-Maritime), où un millier d’emplois doivent être supprimés dans le cadre d’un plan social. Une partie des salariés ont cessé le travail à l’occasion de sa venue.
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